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taxes moderees pour les lettres ne s'appliquent, en cc gui concerne l'Autriche, que dans les relations avec quelques pays voisins. L'adoption dune taxe moderee dans le service international en general entrainerait dcs pertes trop considerables, tandis que I'introduction dune telle mesure dans l'echange" avec un seul pays eloigne ne repondrait pas a un besom reel dv trafic. En raison dv principe de reciprocite, il nest pas possible a, l'Office autrichien de faire distribuer sans taxe les lettres originaires de la Nouvelle-Zelande, gui seraient affranchies seulement 1 penny au lieu de 2-J- pence par 15 grammes. Belgique. —Desire s'en tenir aux dispositions de FArticle 5 de la Convention principale de Washington, pour cc gui concerne le tarif dcs correspondanees dans ses relations reciproques avec les pays de l'Union. L'Office beige regrette done ne pouvoir adherer a la proposition de conclure un arrangement special en vue d'adopter dans les relations avec la Nouvelle-Zelande une taxe d'affranchissement inferieure a. celle de l'Union, soit pour les lettres echangees entre les deux pays, soit seulement pour celles gui seraient expediees de la Nouvelle-Zelande a destination de la Belgique. De l'avis de l'Office beige le statu quo doit etre maintenu; e'est au prochain Congres qu'il appartiendra d'apprecier l'opportunite dune reduction de la taxe dcs lettres dans l'Union. France. —II a etc repondu au Post Office de la Nouvelle-Zelande, que dune part, la France ne pouvait en cc moment conclure une union restreinte en vue de l'abaissement de la taxe dcs lettres echangees entre les deux pays et que, d'autre part, I'Administration francaise ne pouvait delivrer sans taxe les lettres originaires de la Nouvelle-Zelande affranchies seulement 1 penny par 15 grammes, cette modification devant detruire la parite dcs tarifs entre les deux pays et creer en faveur dcs expediteurs de la Nouvelle-Zelande un traitement privilegie de 60 °/> gui ne manquerait pas d'etre critique. Hongrie. — Desire aussi, en principe, la reduction dv tarif dcs correspondanees internationales, mais a la condition que la reduction soit introduite dans l'echange entre les pays limitrophes ou, en general, dans les rapports avec tousles pays de l'Union. Aussi longtemps que les taxes actuelles restent en vigueur dans l'echange entre les pays europeens, l'Office hongrois nest pas a meme de se rallier a une reduction de taxe pour les correspondanees a echanger avec n'importe quel pays hors d'Europe. En consequence, il regrette de ne pouvoir accepter la proposition ni en cc gui concerne l'echange reciproque, ni en cc gui concerne les lettres de la Nouvelle-Zelande pour la Hongrie. L'Administration italienne a fait eonnaltre a l'Office de la Nouvelle-Zelande qu'elle ne peut pas adherer a la proposition de reduire a 10 centimes par 15 grammes la taxe dcs lettres originaires de I'ltalie pour cc pays, les exigences dv Tresor italien s'y opposant, mais que, par contre, rien ne s'oppose a cc que les lettres de la Nouvelle-Zelande pour I'ltalie, affranchies a raison de 1 penny par port simple, soient delivrees sans taxe aux destinataires. L'Administration suisse a informe l'Office de la Nouvelle-Zelande qu'elle est disposee a faire delivrer sans taxe, jusqu'a nouvel ordre, les lettres de eepays affranehies a reason de 1 penny par 15 grammes, a, la condition qu'elles parviennent dans le service suisse sans aucun signe les designant comme insuffisamment affranchies.
[TRANSLATION.] By letter of 21st May last you were good enough to inform me, amongst other matters, that the charge for prepayment of letters from New Zealand for the United Kingdom, for a certain number of British colonies and protectorates, and for the following countries : Chili, Costa Eica, Egypt, Italy, Mexico, Nicaragua, Paraguay, Peru, Portugal and Portuguese colonies, Siam, and Switzerland, is reduced to Id. per half-ounce or fraction of half-ounce, and to request me to rectify therefore the summary distributed with my circular of sth September, 1899 (No. 5237-233). In reply to that communication, I permit myself to remark, Mr. Director-General, that in my opinion the charge for letters exchanged between New Zealand and countries of the union other than Great Britain and British colonies and protectorates cannot be reduced either in both directions or in one only by simple administrative agreement. In either case it is necessary, in my opinion, to conclude a State agreement according to paragraph 2 of Article 21 of the Principal Convention. Therefore, before making the rectification in question, I have the honour to beg of you to kindly inform me if your Government has concluded an agreement of this kind with the Governments of each of the above-named countries with a view to the reduction in question. In the month of January last I requested some of the Administrations, which I presume had been approached by your office on the proposal of the reduction of the charge, to kindly advise me in which sense they pronounced themselves. You will find here enclosed, by way of information, the resume of observations which these Administrations forwarded me in response to my request. You request me, moreover, to replace in note (40), New Zealand (a), page 26 of summary, the words " Colonies of Australasia " by the words " Australian States." In order to obviate any misunderstanding, I should be informed which are the colonies formerly known under the name of the "British Colonies of Australasia " which form part of the Australian States, and I beg of you to kindly advise me on this point. Be annex of your letter mentioning Nigeria (Northern) and Nigeria (Southern) as coming under the letter charge of Id. per single rate, I should inform you, that the Office of Great Britain has notified me some tune ago that the Protectorate of the Niger Coast and the Nigerian Territory are admitted to the benefits of such reduced charge (see note 15, Great Britain
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